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Chez Lehmann EcoProtect, nous croyons que la lutte contre les nuisibles commence par la connaissance.
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 🔎 Dans la tête d’une fouine : chronique d’un toit envahi

🔎 Dans la tête d’une fouine : chronique d’un toit envahi

Lundi, Juillet 14, 2025

Cela faisait quatre ans qu’ils n’arrivaient plus à dormir… 😴 Dans cette grande maison jurassienne, entre Delémont et Porrentruy, le silence de la nuit avait laissé place à des grattements réguliers. Une présence discrète, mais impossible à ignorer.

Ils avaient tout tenté : couvreur, charpentier, désinfestateur classique, service de l’environnement. Chacun avait regardé, colmaté ce qu’il voyait, sans résultat.

Et puis un jour, un appel sans trop d’espoir : — « Écoutez, Monsieur Lehmann, on ne sait plus vers qui se tourner… »

J’arrive sur place. La maison est belle, mais le vent y passe 💨. Les habitants me parlent de courants d’air, de nuits sans sommeil.

Je leur demande : — « Est-ce qu’on a vérifié les jonctions en toiture ? Les chiens assis ? »

Personne avant moi n’avait rien remarqué.

Je sors mon reflex numérique, objectif 50x 📸. Lentement, je lève la tête, je vise : jonctions des chiens assis, ajustage des tuiles, faitage.

Et là, net dans l’objectif : plusieurs espaces de dix centimètres entre les jonctions, jamais colmatés. De véritables autoroutes à fouines 🦨.

Avant d’agir, je pose toujours cette question essentielle : — « Vous entendez des piaillements la journée ? » — « Non, jamais. »

Ouf. Au moins, ce n’est pas devenu une nurserie 🍼. Pas besoin de laisser un passage ouvert le temps que toute la famille sorte. Juste un terrain de jeu pour une ou deux fouines adultes. On peut intervenir et fermer directement, sans risque.

Je me dis : comment personne n’a-t-il vu ça avant ? Cela faisait quatre ans que ça durait, et en vingt minutes d’observation calme, le problème était identifié.

Je continue mon tour, je passe dans les pièces, j’écoute 👂. Je sais déjà quoi proposer :

Un devis à 650 francs : treillis d’armement, agrafeuse, mortier de couvreur, quelques heures de travail et un monitorage caméra pendant deux semaines 🎥, suivi sur un mois.

Mais pour réaliser ce travail efficacement et à moindre coût, j’ai un atout : je suis cordiste 🪢. Pas besoin d’échafaudages ni de camions nacelles. Juste des cordes, un baudrier et de la technique. Cela me permet d’intervenir là où d’autres renonceraient, sans alourdir la facture pour mes clients.

Le travail est fait, proprement ✅. Un mois plus tard, plus un bruit sous la toiture. Ils peuvent enfin dormir 😌.

Mais il y a quelque chose que je garde à l’esprit : Je n’ai pas vocation à corriger les erreurs des autres en les pointant du doigt. Mon objectif est toujours d’apprendre et de faire apprendre.

Dans mon idéologie, je fais tout pour créer des partenariats 🤝 avec couvreurs, charpentiers, maçons et autres corps de métier. Que l’on apprenne les uns des autres, humblement.

Parce que seul, on va vite. Mais ensemble, on va loin. 🌱

Et quand il s’agit de préserver le confort et le patrimoine des gens, mieux vaut avancer ensemble.

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